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Reviews QUATUOR TERPSYCORDES
 

MusicWeb International  March 2019: CD René Gerber et Ernest Bloch (Gallo)
…They give outstanding performances of these chamber works by two very different composers - Gerber's joy at being alive, in total contrast to Bloch's existential torment and endless questioning. Their passionate intensity in the Bloch has a striking potency. In addition, they’ve been captured in first-class sound and balance.   Stephen Greenbank – Review in full

24 heures 7/3/2019 : Quatuor Terpsycordes dans la brise argentine
."La formation genevoise et le bandonéoniste William Sabatier explorent Piazzolla et récréent des chansons d’Édith Piaf. Un hors-piste distingué.…Un art du «rubato», un goût affirmé d’un swing tantôt mélancolique, tantôt séducteur, se dégagent de ce corpus. Un nouveau point de tangence, distingué, s’est formé entre bandonéon et cordes. On l’écoute sans se lasser." Rocco Zacheo - Article

Apemusicale.it 8/02/2019 : Il quartetto Terpsycordes, in cui si armonizzano alla perfezione strumentisti di diverse provenienze, offre un'interessante lettura dei quartetti di Haydn, Beethoven e Schubert ...
…. Una partitura pervasa da un senso di serenità interiore, dalla scrittura strumentale complessa, dalle suggestioni quasi orchestrali: il ricorrente ricorso al tremolo e allo staccato ben si addice alle corde espressive e sonore del Terpsycordes. La monumentalità della composizione è un compendio delle potenzialità espressive del genere: il Terpsycordes è bravo a esaltarle tutte, ad accentuare l’aspetto melodico e danzante, dalla raccolta atmosfera intrisa di malinconia tipicamente viennese, dell’Andante un poco moto (terzo movimento): il violoncello canta dolcemente e, all’interno della conversazione quartettistica, i violini e le viole interrompono con veemenza il discorso. Il Terpsycordes fa ben percepire il contrasto tra il dolce tema iniziale e le irruzioni, sonore e ritmiche, degli altri componenti, per poi ricomporsi tutti serenamente. L’aspetto spiccatamente danzante (tempo in 6/8), una tarantella, ritorna nell’Allegro assai in sol maggiore del finale con impeto e precisione nella tenuta ritmica generale. Molti applausi dopo l’ultimo accordo finale."   Luigi Raso - Article

Tagblatt.ch 9/02/2018 : "Piaf rencontre Piazzolla ou un Argentin à Paris"
Piaf, Piazzolla und Ravel trafen sich im Programm der fünf fabelhaften Musiker zu einer Fusion aus Klassik, Jazz und Chanson, französischer Finesse und argentinischer Schwermut, von der Piafs Lieder nicht allzu weit entfernt sind.
Das Bandoneon übernimmt in «Les hommes de Piaf» wie in Astor Piazzollas «Five Tango Sensations» den Part der Stimme: Es singt, es atmet, geht durch Höhen und Tiefen menschlicher Gefühle und macht keinen Bogen um den Schmerz. Immer wieder taucht Sabatier so tief ein in die Musik, dass man ihn aufstöhnen, ächzen hört, bis hin zum Schrei. Die Terpsycordes sind feinster Klangteppich und mitreissende Rhythmusgruppe; sie erweitern das gewohnte Farbspektrum von Streichinstrumenten und verstehen sich ebenso gut aufs zart Poetische in Ravels Streichquartett F-Dur. BK - Article online

24Heures.ch 15/01/2017: Le Mont Musical défriche les talents
…le Quatuor Terpsycordes s’est produit d’abord en version trio avec Christian Chamorel au piano pour le Quatuor K. 478 de Mozart – rudesse ombrageuse de l’ouverture, tendresse maternelle de l’andante, prodigalité enjouée du final – puis en version complète et superbement enrichie par la clarinette de Damien Bachmann dans le Quintette K. 581 du même Mozart. Matthieu Chenal - Article online

The Strad.com 6/01/2016: CD Schubert
Quartettsatz in C minor D703; String Quartet no.15 in G major D887
…, these accounts are technically excellent, imaginative, dramatic and expressive, penetrating well below the music’s surface. The musicians bring strong characterisation to the Quartettsatz, unanimous in approach and alert to every mood, and they sustain the challenging, monumental span of the G major Quartet with convincing continuity, judging tempos effectively, phrasing musically, blending sensitively and extracting the utmost tragic intensity from its vast, symphonic proportions. They offer a wide variety of textures and telling dynamic contrasts in the turbulent outer movements, and perform with striking delicacy and refinement in the quieter passages – particularly in the emotional slow movement, which has enormous depth and humanity, and the nimble scherzo. The recording is warm, focused, clearly defined and astutely balanced. - Robin Stowell

MusicwebInternational November 2015 : Recording of the month
If you want to hear these Schubert string quartets on period instruments, Quatuor Terpsycordes here offer you this surprisingly rare opportunity. This brings a rawness and febrile quality to the Quartettsatz, the first movement of a quartet Schubert never completed. The chromatic lunges of its opening theme are nervy and spectral. The sweetness of the first violin’s second theme (tr. 1, 0:33) is slender and evanescent. The first violin’s rushing semiquaver ascents and crescendi capped by sforzandi in all four instruments are thrilling. …Throughout dynamic contrast and balance between the parts are sensitively and effectively realized.
The Terpsycordes' account of the first movement of String Quartet No. 15 is electrifying from the introduction …The Terpsycordes give a breathtaking performance in which the many contrasts of dynamic and manner are perfectly executed.
The Terpsycordes present all this with great clarity and vividness but at the same time a certain analytical objectivity, so you feel the two moods are those of one personality struggling to manage their incompatibility.
…With the Terpsycordes’ startling realization of the dynamic contrasts you become aware that the graceful and the violent are two sides of the same character. …Played on period instruments the Terpsycordes’ account is harmonically more pungent and in line more modern, more twentieth century. Their entire performance is a revelation. - Michael Greenhalgh - Read more

www.musikzen.com 21/10/2015: Wanderer sans fard - Le Quatuor Terpsycordes mène Schubert vers le XXème siècle
….Quatuor Terpsycordes qui joue brillamment d'un extraordinaire paradoxe : exhaler le caractère résolument moderne de cette musique tout en utilisant des instruments d’époque., ils s’affranchissent de tout sentimentalisme refusent le moindre épanchement, le plus petit effet de manche, le coup d’archet à vous fendre le cœur, et donc tout vibrato. D’aucuns pourraient penser que cette façon d’aborder Schubert tend vers la sécheresse. Elle en donne au contraire une vision tout autre, nimbée d'une autre forme d'émotion, plus âpre, sans diminuer la tension permanente entre l’angoisse et la sérénité. Mais la première s’exprime par des cris et des grincements plus que par des plaintes langoureuses, et la seconde par des attaques et des choix rythmiques plus que par de simples tutti d’accalmie. La prise de son favorise, d’ailleurs, le dialogue entre les instruments et les solos avec accompagnement. Et lorsque Schubert parsème sa partition de réviviscences d’airs populaires, l’allant des Terpsycordes fait merveille. - Gérard Pangon

www.resmusica.com 21/10/2015: Le Quatuor Terpsycordes passionné dans Schubert
Quatuor n° 12
« Quartettsatz » - ….Le jeu des Terpsycordes se mue tantôt en déchaînements nerveux ou bien à l’opposé en d’angéliques pianissimi, transfigurant l’incroyable inspiration schubertienne.
Car on remarquera dès ce « Quartettsatz » introductif un élément des plus marquants : en effet, les interprètes ayant adopté le jeu sur des instruments authentiques ne possédant pas toutes les capacités expressives des instruments d’aujourd’hui (cordes en boyau, etc.), ils auront eu à cœur d’accentuer les contours, les nuances, les dynamiques de cette musique…
Un choix d’une merveilleuse intelligence permettant de goûter au maximum de leur potentiel expressif les coups de théâtre, les soubresauts, les recoins d’ombre et autres rais de lumière.
Quatuor n° 15 - ...Dans cette nouvelle gravure, les quartettistes ne laissent aucun temps mort à leurs auditeurs : du long premier mouvement (près de vingt minutes) à la forme sinueuse et aux aspérités saillantes, conduisant au deuxième et à ses lancinantes mélodies jusqu’au tourbillon central aux confins du cri, en passant par l’étourdissant scherzo où le compositeur fait tourner la tête de l’auditeur à raison d’un flux quasi-ininterrompu de notes répétées, entrecoupé d’un Trio aux allures de ländler, jusqu’au finale solaire en forme de course effrénée.
En un mot, on n’imagine guère interprétation plus vivante et passionnée que celle gravée aujourd’hui par le Quatuor Terpsycordes, portant à son comble une indomptable fièvre romantique. - Thomas Vergracht

La Liberté 26/09/2015: Un quatuor «symphonique»
D’aucuns lient le Quartettsatz de Schubert au quatuor La jeune fille et la mort. Les musiciens du Quatuor Terpsycordes ont fait le choix de l’enregistrer en même temps que le Quatuor No 15, soit l’ultime de Schubert. Ces pages oscillent toujours entre la dentelle mélodique, le cadre intime dans lequel était jouée la musique de chambre et leur force expressive, puissante, parfois même rugueuse. Pour retrouver la délicatesse autant que l’urgence de la musique de Schubert, les Terpsycordes ont monté leur propre instrument avec des cordes en boyau et jouent avec des archets du XIXe siècle. Au-delà de la recherche de fins détails, sur l’articulation et l’interprétation historique, c’est aussi sur la longueur du discours, le souffle qu’il faut tenir de bout en bout, que les musiciens œuvrent, pour rendre passionnant ce quinzième quatuor aux dimensions quasi symphoniques (peu ou prou 45 minutes). Le pari est tenu.
Le Quatuor Terpsycordes confirme ainsi son inspiration schubertienne (après un premier disque consacré aux quatuors Rosamunde et La jeune fille et la mort). - Elisabeth Haas

www.vagnethierry.fr 5/09/2015: CD Schubert Quartettsatz et 15e quatuor
"(..) une intonation impeccable, pas de chichis interprétatifs, pas de soufflets ou autres idiosyncrasies à l’ancienne, une grande finesse de sonorité, et surtout une gestion toujours très sûre du flux musical. On est pris par leur discours de bout en bout en l’on goûte à la fois les qualités sonores de chacun et de l’ensemble. Un très beau disque." - Thierry Vagne

OB - Berner Oberländer 27/05/2015"West- und Deutschschweiz imOktett vereint"
critique suisse allemande du concert du 25 mai 2015 à Spiez, avec le Amar Quartett
Die Idee von Ruedi Bernet hat etwas Bestechendes an sich: Erstens ein Deutsch- und einWestschweizer Quartett mit seinen jeweiligen Programmschwerpunkten auftreten lassen. Zweitens die beiden Ensembles für den krönenden Abschluss zum Oktett für Streicher Es-Dur op.20 von Felix Mendelssohn bitten. Spielen über die Sprachgrenze hinweg. Und den Röstigraben elegant überspringen."
(...)Das Quatuor Terpsycordes spielt es schonungslos mit drängender Intensität und pulsierender Wucht. Die Welschen zeigen mit Ausnahme des stoisch,aber nicht unbeteiligt wirkenden Cellisten François Grin ein sehr körperbetontes Spiel. Furios der erste Geiger Girolamo Bottiglieri, katzengewandt die Violinistin Raya Raytcheva, präzis mitgestaltend die Bratschistin Caroline Cohen-Adad."
(...)Feines Gespür für einander und für das Oktett von Mendelssohn. Das Zürcher Amar-Quartettund das Quatuor Terpsycordes mit einem grossen Auftritt inder Schlosskirche Spiez." - Svend Peternell

Classissima  - 28/03/2015: CD Haydn – Sept Dernières Paroles du Christ en Croix 
…Très belle œuvre dont le caractère primesautier (voyez « Consumatum est » !) m'étonne toujours ; et servie à merveille par les Terpsycordes, qui ont la chaleur du grain des instruments d'époque, mais avec une assise dense (et une sûreté technique) beaucoup plus rare avec ce type de matériel. Seul l'orage fait un peu grincer les boyaux. Magnifique version, qui culmine dans un saisissant « In Tuas manus . - David Le Marrec

Tribune de Genève Juin 2014
…Un concert du Quatuor Terpsycordes, renforcé pour l’occasion par une petite dizaine de pupitres et, surtout, par le lightshow du duo Sigmasix. Là aussi, la grande foule et un véritable triomphe pour une œuvre, La Jeune Fille et la Mort de Schubert, transfigurée et augmentée par des artifices qu’on n’a pas coutume de croiser dans ce biotope. De ce concert, on aura aimé avant tout le noir qui a longtemps régné entre les dorures du Victoria Hall, tout juste rompu par les lumières tamisées posées sur les pupitres. On aura aussi apprécié la fougue et l’intensité musicale déployées par l’ensemble sur la scène. Et puis le ballet de lumières, qui ont su créer des atmosphères et souligner l’intense narration schubertienne. Décoiffant!

www.resmusica.com 4/09/2013: Quatuors de Beethoven sur instruments de Vuillaume montés d’origine
Ce disque est né d’une histoire d’instruments. Un quatuor issu des ateliers Vuillaume conservé au Musée d’art et d’histoire de Genève. … Les musiciens affirment également que les instruments les guident dans leur démarche musicale et les gestes qu’ils adoptent. Et cela est clairement audible dans ce disque : les sonorités « simples », un jeu dégagé de vibrato systématique et une tension ressentie autrement que sur des instruments modernes seraient alors leurs atouts, pour souligner le caractère délicat et intime exigé par le compositeur. …Ce premier enregistrement de l’op. 132 réalisé sur instruments montés d’époque satisfera ainsi largement les mélomanes en quête d’authenticité. - Victoria Okada

Pizzicato Mai 2013: CD Beethoven: Kontrastreich
…Opus 18/6 ist wohl noch von klassischer Faktur, die die ‘Terpsycordes’-Musiker mit schillernder Brillanz und Transparenz unterstreichen. Das Quartett aus dem Jahre 1801 zeigt uns allerdings auch schon einen Beethoven, der sich von der Haydn-Tradition abgenabelt hat, jenen melancholischen und wankelmütigen Charakter, den die vier Musiker in einem berührend emotionalen Vortrag wiedergeben. Das Schwanken zwischen der Schiksalhaftigkeit des Lebens und extrovierter Lebenslust ergreift den Zuhörer, ….mehr kann eine musikalische Darbietung eigentlich nicht bieten.
Der CD-Titel ‘Con intissimo sentimo’ drückt ein echtes Anliegen der Musik und des ‘Terpsycordes’-Quartett aus, das in intimer Wahrhaftigkeit den Kontrast zwischen Beethovenschem Fatalismus und romantischer Lebensbejahung packend zum Ausdruck bringt. - ge

www.musicologie.org 4/03/2013 : CD Beethoven - Con intimissimo sentimento
….écoutez ce disque que vous allez encore écouter tellement cela est beau, fin, habité, concentré sur le détail, même dans le contrepoint le plus sophistiqué. C'est beau comme un vrai concert, ce qui est rare pour un disque. - Jean-Marc Warszawski

www.francetv.fr 25/02/2013: 2 Quatuors pour cordes de Beethoven d'une infinie délicatesse
Les quatuors à cordes de Beethoven font partie des monuments de la musique. Le Quatuor Terpsycordes nous en offre deux sur instruments d'époque: l'Opus 18 n°6 et l'Opus 132 dans un nouvel album des Editions Ambronnay: "Beethoven con intimissimo sentimento". Le Quatuor Terpsycordes suit à la lettre la recommandation de Beethoven qui voulait que l'Opus 18 soit joué avec la plus grande délicatesse.  … 25 années séparent l'écriture de l'opus n°6 de celle de l'opus 132. Et pourtant, il y a continuité dans l'esprit de ces deux oeuvres qui alternent exaltation et mélancolie. Un grand écard que le quatuor Terpsycordes restitue avec justesse et sensibilité. - Jean-Michel Ogier

www.on-mag.fr 22/02/2013: CD Beethoven - Con intimissimo sentimento
Le quatuor Terpsycordes s’attaque à deux quatuors pour cordes de Beethoven parmi les plus imposants. …Dans cet opus 18, c’est dans ce quatuor que la patte de Beethoven se fait le plus sentir,… C’est cet épanouissement de la chrysalide Beethoven que réussit à rendre à merveille le quatuor Terpsycordes, tout en finesse et en nuances.
Le quatuor de l’opus 132 - … le quatuor Terpsycordes nous montre, avec beaucoup de sensibilité, combien, là, dans cet opus 132, Beethoven est devenu vraiment Beethoven. …Et le quatuor Terpsycordes a bien fait de réunir sur un même CD ces deux quatuors écrits à vingt-cinq ans d’intervalle, sur le même sujet qui n’est autre que la difficulté d’être. Un sentiment très intime, intimissimo sentimento, qui sera l’essence même du romantisme et qui donne son nom à l’album. Ce CD est superbe,.. - Y. Canal

L'Express - L'Impartial February  2013 : Une science stupéfiante de la couleur
…L’ensemble fait une subtile utilisation des couleurs sonores qui, toutes différenciées, lumineuses, aboutissent à une force insoupçonnée. Les musiciens ont bouleversé le public, spontanément. Quant à leur vision du Quatuor à cordes op 18 de Beethoven, elle est riche de puissance dramatique et de vibration intérieure. Chaque mouvement est animé d’un souffle d’une extraordinaire intensité. L’allegro con brio est pastoral, les dialogues sont finement structurés. Puis les interprètes combinent enthousiasme et nostalgie tandis qu’un humour discret caractérisera le scherzo. La communion spirituelle entre les musiciens Girolamo Bottiglieri, premier violon, Raya Raytcheva, second violon, Caroline Haas, alto, François Grin, violoncelle est tangible.

www.concertonetcom 15/02/2013 : Beethoven : Quatuors n° 6, opus 18 et n° 15, opus 132
…le Quatuor Terpsycordes convainc d’emblée dans le Sixième (1800) de l’Opus 18, brillant et dramatique, plein d’entrain et de vivacité. S’il joue, comme le précise la notice, avec des archets «classiques» («plus légers que les archets modernes») sur des Vuillaume du musée d’art et d’histoire de Genève montés avec des cordes en boyau, on ne trouvera ici ni sonorités grêles ou frêles, ni souci envahissant de recherche musicologique. Cela étant, l’approche du Quatuor Terpsycordes revendique une indéniable originalité: le trait est net et précis, l’effort de recherche indéniable,….- Simon Corley

 

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